Résumé de l'affaire

Action en dommages-intérêts fondée sur des vices cachés. Accueillie (1 548 $).

 

Résumé de la décision

En 2002, le demandeur a acheté un téléviseur dont le fabricant est la défenderesse. La garantie du fabricant pour ce téléviseur est de un an. En 2004, le téléviseur s'est révélé défectueux. Le demandeur fait affaire avec un réparateur accrédité par la défenderesse. Il a procédé à des réparations qui ont coûté 1 548 $. Il réclame cette somme à la défenderesse, soutenant que son appareil était couvert par une garantie de deux ans et qu'elle a été réduite juste avant qu'il procède à l'achat. La défenderesse allègue que le demandeur avait accepté la réduction de garantie et que le réparateur accrédité ne l'était pas pour des réparations hors garantie. Elle allègue finalement qu'elle n'a jamais eu l'occasion de donner son autorisation pour les réparations ni d'évaluer le téléviseur. Il existait un vice caché relié à un vice de fabrication dont la défenderesse est responsable. Un téléviseur neuf d'une valeur de plus de 3 000 $ devrait avoir une durabilité plus longue que deux ans. Le demandeur a agi en bon consommateur en s'informant au sujet des réparateurs accrédités de la défenderesse. Pour lui, c'était l'équivalent de communiquer directement avec la défenderesse.


Dernière modification : le 1 septembre 2006 à 18 h 59 min.